Comment créer une Newsletter en béton armé pour ton entreprise ?

Aujourd'hui, au programme :

• Pourquoi créer une Newsletter est une évidence pour ton business
• Comment la stratégie média te permet de x10 tes résultats
• Quel outil de Newsletter choisir pour TA situation
• Comment trouver un contenu qui fit avec ton audience
• Comment structurer ta copie parfaitement et booster la rétention
• La méthode pour ne jamais tomber dans les SPAM
• Comment obtenir >50% d'ouverture à tous tes emails.

Allez, on commence ! 💌

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Pourquoi créer une Newsletter est indispensable en 2023 

Internet est en passe d’entrer dans une des ères les plus chaotiques de son existence.

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Les réseaux sociaux s’y livrent une guerre sans merci.

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La cybersécurité, le Web3 et autres régulations rivalisent d’initiatives pour complexifier, un peu plus chaque jour, les usages Marketing.

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Les habitus des utilisateurs, toujours plus fluctuants et imprévisibles, rendent de plus en plus complexe la définition de stratégies de croissance ambitieuses.

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Le Marketing de contenu n’a jamais été aussi incertain, tant dans ses pratiques que dans ses résultats.

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Tout ça pour une raison simple : 99% du contenu publié est administré par des algorithmes.

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Ces algorithmes n’ont qu’un rôle : délivrer le contenu le plus engageant possible à la bonne audience, afin de maximiser sa rétention au sein de la plateforme.

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L’idée semble louable.

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Mais dans les faits, elle rend le travail de création d’autant plus complexe.

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Car le truc, c’est que les algorithmes, opaques par design, évoluent sans cesse.

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Publier du contenu sur LinkedIn, Facebook, YouTube ou TikTok, c’est accepter de jouer le jeu, parfois cruel, souvent incertain mais toujours éprouvant des algorithmes.

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Un jeu où tu avances à tâtons, sans aucun appui, dans l’espoir que ton prochain contenu sera adoubé par les robots.

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L’enjeu, ici, n’est pas de te dissuader de publier sur ces plateformes, car elles ont une myriade de bénéfices à t’apporter.

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L’enjeu, ici, est de t’assurer de ne pas dépendre de leur bon vouloir.

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Il en va de la résilience de ton business.

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Et la meilleure manière de procéder, et de loin, n’est autre que de créer une Newsletter et structurer ta stratégie de contenu comme un média.

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1) Créer une Newsletter en pensant stratégie média, pas contenu.

Les meilleurs créateurs et Marketers ont compris qu’il ne suffit que d’un changement d’algorithme, ou d’un changement de règles d’utilisation, pour voir tout un pan de leur audience s’effondrer.

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Alors, ils se sont diversifiés pour mieux s’émanciper.

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D’une stratégie mono-plateforme, ou multi-plateforme exclusivement basée sur des réseaux algorithmiques à fort potentiel de viralité (LinkedIn, YouTube, TikTok…), ils ont fait le choix d’une stratégie bien plus robuste.

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Cette stratégie, c’est celle du média, beaucoup plus résilient par nature.

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Pourquoi ? Car il repose sur un système éditorial qui le rend résistant aux fluctuations des plateformes sur lesquelles il est implanté.

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Ce système est le fruit de la rencontre entre 3 grands types de canaux :

1. Les canaux à fort potentiel de viralité, qui génèrent visibilité et conversions vers les autres plateformes.
2. Les canaux à fort effet cumulé, où le contenu y est plus poussé, plus creusé et prend de la valeur au fil du temps. 
3. Une liste email d’utilisateurs engagés.

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Tu l’as compris : le nerf de la guerre, c’est de posséder son audience.

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Et un des seuls moyens de posséder son audience, c’est de créer une newsletter avec une liste d'adresse e-mail la plus qualitative possible.

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Et (encore un “et”), le meilleur moyen d’engager ces personnes, c’est avec :

• une newsletter de qualité,
• qui crée un rendez-vous,
• génère de la crédibilité,
• de la réciprocité et de la confiance,
• et, in fine des conversions.

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Mais pas seulement.

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Car une newsletter bien pensée n’est pas qu’un simple levier de distribution.

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C’est aussi un formidable moyen de clarifier ta pensée, et de l’atomiser en une infinité de contenus qui pourront nourrir tes autres canaux.

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Bien appréhendé, ce travail d’écriture te servira à de multiples égards. 

Avec toutes les conséquences bénéfiques qui s’ensuivent.

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Côté Scalezia, ces newsletters que nous écrivons chaque semaine nous servent à :

• Faire monter nos clients en compétences 
• Faire monter nos équipes en compétences 
• Générer des dizaines de micro-contenus à partir d’un seul contenu fleuve
• Mettre de l’ordre dans nos connaissances pour mieux les restituer et les transmettre. 

Le tout en générant des dizaines de milliers d’euros de ventes chaque mois.

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Tu l’as compris : une Newsletter bien exécutée est un Cheat-code entrepreneurial. 😉

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À condition d’utiliser les bons outils.

2) Les meilleurs outils pour créer une Newsletter

Qui dit newsletter, dit plateforme d’envoi.

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Le truc, c’est que les options sont aussi nombreuses que dures à différencier.

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Pourtant, le choix du bon outil n’en est pas moins crucial. Car changer de fournisseur une fois la newsletter lancée peut vite s’avérer long, fastidieux et douloureux.

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L’idée de cette partie n’est pas de te recommander l’outil miracle (spoiler : il n’existe pas), mais de te donner la bonne méthode pour sélectionner le plus adapté à tes besoins. 

Quel est le meilleur outil pour créer une Newsletter ?

Comme on te disait, il n’y a pas de plateforme parfaite.

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Il n'y a que des options qui correspondent à tes enjeux à l’instant-t.

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À vrai dire, il existe 3 grandes catégories de plateformes d’envois, qui se différencient principalement par leur modèle économique.

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Les meilleurs outils qui existent à nos yeux, pour chacun des modèles économiques qu’on va énumérer ci-dessous, sont :

• Substack (plateforme ouverte)
• Convertkit (plateforme par contacts)
• Brevo, ancien Senbinblue (plateforme par crédits)

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Et si tu ne veux pas t'encombrer avec une solution tierce pour gérer ta newsletter tu peux utiliser le créateur de newsletter Hubspot, directement intégré à leur CRM pour centraliser toutes tes actions marketing.

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Rentrons maintenant dans le détail.

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1- Les plateformes “ouvertes” 

Le champion incontesté de cette catégorie n’est autre que Substack.

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Le principe de la plateforme “ouverte” est simple : son fonctionnement est à la croisée entre une newsletter et un blog.

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Tes emails y sont considérés comme des “posts”, accessibles via ton blog personnel, et envoyés aux inscrits à ta liste.

✅ Ses avantages sont multiples :

• ‍‍Facilité d'utilisation 
• Hébergement gratuit 
• Monétisation aisée 
• Communauté grandissante 
• Envoi automatisé
• Assistance

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❌ Inconvénients :

- Personnalisation limitée

- Commission 10%

- Fonctionnalités restreintes

- Concurrence élevée

- Dépendance à la plateforme

- Pas de version française.

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En gros, Substack est la meilleure option pour un solo-média en quête de Branding, plus que de conversions. 

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2- Les plateformes par contacts 

Comme l’intitulé l’indique, les plateformes par contacts tarifient au nombre d’inscrits à ta liste.

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Ce modèle est idéal pour te lancer, car la constitution d’une audience minimale viable ne requiert l’avancement d’aucun frais.

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Parmi celles-ci, on compte notamment :

• Convertkit,
• Aweber,
• Getreponse
• Mailerlite.

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On aurait plutôt tendance à te recommander Convertkit, qui te permet de gérer tout ton Marketing grâce à un système de Landing Pages et de Workflows (aperçu juste ici). 👇

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✅ Avantages (liste non exhaustive) :

• Plus de possibilités de personnalisation,
• Beaucoup plus de features,
• Automatisations avancées,
• Statistiques plus granulaires.

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❌ Inconvénients (liste non exhaustive) :

• Peut vite s’avérer onéreux,
• Plus demandant techniquement,
• Temps de mise en place plus long,
• Pas idéal pour les grosses audiences.

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3- Les plateformes par crédits 

Sur ces plateformes, tu payes à l’envoi. Chaque email te coûte un crédit, peu importe la taille de ta liste.

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Cette option est particulièrement utile dans deux cas de figures :

1. Ta base est conséquente (>10000 inscrits),
2. Tu envoies peu d’emails (<1 envoi par semaine).

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Hormis ce détail, leur fonctionnement est, en tous points, similaire aux plateformes par contacts.

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Les acteurs les plus notoires de cette catégorie sont Mailchimp et Sendinblue (que nous utilisons chez Scalezia). Un aperçu de la plateforme 👇

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N’oublie pas qu’un outil, aussi qualitatif soit-il, n’est que le prolongement de tes compétences.

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Et en matière de compétences, la première à maîtriser, c’est de savoir définir et travailler une bonne ligne éditoriale.

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Une fois que ce travail sera fait, tu sauras à qui ta newsletter s’adresse.

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Il sera désormais temps de passer à la phase d’écriture.

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Dans cette partie, tu t’apprêtes à découvrir les bonnes pratiques qui nous ont permis d’établir la formule d’une newsletter qui remplit (pour de vrai) sa mission.

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Cette formule est le fruit de 160+ éditions, et tout autant de tests, d’expérimentations et de loupés.

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À vrai dire, si on devait la résumer en 2 mots, je dirais qu’elle repose sur les 3S :

1. Structure,
2. Simplicité,
3. Style.

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On détaille ces points ensemble :

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3) Créer une newsletter qu'on à (vraiment) envie de lire

1) La Structure

Une bonne newsletter est une newsletter construite.

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C’est la qualité de cette construction est le principal précurseur de la clarté.

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Et c’est de cette clarté que découlera l’impact.

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À commencer par ton introduction.

A) L’introduction 

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Celle-ci doit remplir 3 fonctions :

1. ‍Rassurer, en confirmant au lecteur qu’il a bien fait d’ouvrir l’email. Comment ? En faisant une connexion explicite entre le contenu et l’objet de l’email. ‍
2. Annoncer, en présentant au lecteur le plan synthétique du contenu de l’email, afin de permettre une bonne projection. ‍
3. Embarquer, en créant une tension narrative (storytelling) et/ou en invitant le lecteur à scroller pour continuer sa lecture. 

Ces trois curseurs t’assurent le plus important : magnifier l’engagement de ton lecteur sur toute la durée de ta newsletter.

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On en vient au deuxième pilier.

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Celui qui fait toute la différence.

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B) Le contenu de ta newsletter

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Celui-ci doit être structuré avec autant de limpidité que possible. 

Comment ? En allouant à chaque sujet une partie qui lui est propre, dissociée des autres par un séparateur visuel net.

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Cette structuration en modules te permet de rendre ton contenu à la fois scannable et snackable.

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Deux des attributs les plus cruciaux d’un bon contenu.

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Pars du principe que ton lecteur ne dispose que d’une quantité d’énergie mentale limitée à accorder à ton email.

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Faciliter sa consommation, c’est maximiser les chances de délivrer ton message.

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Enfin, on en arrive au dernier pan.

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C) Ton wrap-up aka ta conclusion

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L’idée, ici, est de finir en apothéose en donnant un point final à la fois net et impactant à ta newsletter.

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Il existe une infinité de pratiques potentielles sur lesquelles t’appuyer. Tu peux, par exemple :

• Terminer par un élément visuel récurrent (GIF, photo, Meme)
• Terminer par un contenu externe 
• Terminer par une punchline 
• Terminer par une citation 

L’objectif, par ce biais, est de créer une habitude de consommation chez ton lecteur.

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Une habitude qui rendra d’autant plus facile l’ouverture de ton prochain email.

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Et qui se joue à des niveaux de détails aussi spécifiques que ta façon de conclure tes envois.

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On en vient au point suivant :

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2- La simplicité

On l’a vu dans la partie précédente : ton lecteur ne dispose que d’une quantité d’énergie et de temps limitées pour consommer ton contenu.

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Tu te dois de lui faciliter la tâche au maximum. 👍

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Par le travail de structure dont on a déjà parlé.

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Mais aussi par ta façon d’aborder les informations que tu délivres. On verra juste après que le style joue, ici, un rôle prépondérant. Mais ce n’est pas le seul levier. Loin de là.

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Ton premier outil est celui de la hiérarchie visuelle.

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Comment ? En jouant :

• Sur la mise en page, la gestion de tes titres, le gras, l’italique, le soulignage pour faire dénoter les éléments-clés de ton contenu au maximum. 
• Sur les encadrés. Un récapitulatif en quelques bullets points de tes grandes parties et/ou de l’intégralité de ton édition peut faire une vraie différence dans son impact. 
• Sur la mise en forme et la rédaction de tes titres. Fais-les dénoter au maximum, et donne-leur autant de corps que possible. 

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La règle est simple :

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Assure-toi que 20% de ton texte dénote visuellement des 80% restants, et que ces 20% puissent suffire pour comprendre l’essentiel de ton propos (et en obtenir l’essentiel de la valeur).

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C’est ce que je viens précisément de faire en mettant la phrase précédente en évidence avec une citation. See what I did there? ;-)

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Mais il manque un levier crucial.

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Celui de la multimodalité.

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N’oublie pas qu’une image vaut mille mots. Idem pour un graphique, une infographie ou tout autre format non-textuel.

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Pour chaque concept que tu abordes, pose-toi la question d’une alternative plus imagée, plus visuelle, qui pourrait remplacer un paragraphe un peu trop étoffé.

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Pour chaque énumération de données un peu confuse, demande-toi si un tableau en bonne et due forme ne pourrait pas venir rajouter de la clarté.

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Pour chaque événement auquel tu fais référence, demande-toi si une photo ne pourrait pas venir illustrer des émotions parfois difficiles à transmettre à l’écrit.

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Un bon contenu est un contenu varié.

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Et ça commence par les formats que tu utilises.

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3- Le style 

La qualité de ta plume fait 80% de tes résultats. J’imagine bien que tu ne tombes pas des nues en lisant ça, mais ça va mieux en le disant.

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Sauf qu’il faut qu’on s’attarde un peu sur la notion de “qualité”.

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L’erreur commune de 99,99% des créateurs de contenu est celle d’une recherche ultra-contreproductive de complexité.

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Oui, la complexité rassure. On se sent plus expert. Plus légitime. Mais la complexité te fait perdre 9 lecteurs sur 10.

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La solution ? Suis cette liste de bonnes pratiques avant d'écrire ta Newsletter : 

• Limite au maximum le jargon et le vocabulaire complexe.
• Définis les mots "jargonnesques" que tu es contraint d’utiliser. 
• Des phrases en grande majorité courtes, de 12 à 14 mots maximum en moyenne. 
• Des paragraphes courts et des sauts de ligne fréquents pour aérer.
• Une information par phrase. 
• Une fonction par mot. Tout mot inutile doit être enlevé. 

N’oublie pas que la simplicité est la plus belle des sophistications.

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Et ça commence par le choix des mots que tu utilises pour transmettre ton savoir.

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Pour résumer :

• Opte pour un style simple, sans fioriture et digeste 🍽,
• Structure ton contenu pour le rendre scannable et snackable 🍿,
• Découpe ton propos en parties bien distinctes ✂️,
• Introduction qui annonce le contenu 📣,
• Travaille tes niveaux de lecture via une hiérarchie visuelle réfléchie 👀.

Et surtout : assure-toi de faire un peu mieux d’une édition à l’autre.

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Ce n’est qu’au prix de cette amélioration continue que tes lecteurs seront un peu plus nombreux chaque semaine.

À condition qu’ils aient, en premier lieu, envie de les ouvrir.

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4) Créer une Newsletter à >50% d’ouvertures 

Un bon email, c’est, avant toute chose, un email ouvert.

L’email le plus qualitatif au monde, le plus travaillé, le plus abouti, empli d’un amas débilitant de valeur ne te sera d’aucune utilité si ton audience le snob au premier regard.

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L’ouverture de tes emails est indispensable.

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Alors, tu dois la rendre inévitable.

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Et pour ce faire, tu dois t’appuyer sur 3 leviers : 

1. Une bonne délivrabilité 
2. De bons objets 
3. Du bon contenu. 

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Dans cette partie, tu t’apprêtes à découvrir l’essentiel à connaître sur chacune de ces 3 composantes.

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Exemples et outils à l’appui.

D’ailleurs, pour te donner une idée, voici les performances moyennes d’ouvertures de nos emails :

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1- Les clés pour arriver dans la boîte mail de ton audience

Première étape indispensable : ne pas tomber en spams.

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Tu n’imagines pas le nombre de newsletters qui élisent domicile dans les indésirables de leur audience.

Un gâchis de potentiel sans commune mesure.

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Pourtant, il ne te suffit que d’une poignée de bonnes pratiques pour t’assurer une délivrabilité suffisante.

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En voici les principales :

1) Réalise tes programmations DNS

Les programmations DNS sont la carte d’identité numérique de ton domaine.

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Celles-ci permettront à ton domaine de s’authentifier auprès des serveurs avec lequel il sera amené à interagir.

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Il est nécessaire de réaliser 3 programmations :

• Le SPF
• Le DKIM
• Le DMARC (tuto pour paramétrer ces trois premières étapes)
• Rends ton WHOIS public
• Paramètre ton ReverseDNS

2) Teste ta délivrabilité

Avec GlockApps, la base.

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En ressort un audit complet des performances du sender ainsi qu’une série de recommandations pour l’améliorer.

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3) Ne contacte que des emails 100% valides

Vérifie tes emails avec Dropcontact, Neverbounce ou Zerobounce pour ne conserver que les emails valides.

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4) Sois régulier dans tes envois 

Des fréquences d’envois en dent de scie éveillent la méfiance des algorithmes. Veille à envoyer un flux continu d’emails. La clé est dans la régularité.

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5) Surveille les variations de performances 

Contrôle les stats de tes campagnes à la recherche d’éventuelles baisses de performance. Lance un test avec GlockApps de façon hebdomadaire.

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6) Utilise un bon outil d’emailing

Les meilleurs outils du marché selon nous : Senbinblue, Convertkit et Substack.

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7) Envoie du contenu de qualité

Si la délivrabilité est reine, le contenu est roi. Soigne ton Copywriting. A/B Teste tes objets et le contenu. Personnalise au maximum.

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À chaque ligne, poste-toi cette question : “suis-je en train de valoriser le temps de mon interlocuteur ?”

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Pour que sur ton prochain mail, il ait une irrésistible envie d'ouvrir. Tu dois avoir une seule envie : créer une Newsletter avec le plus de valeur possible. Tu dois rougir d'en envoyer même autant.

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8) Teste tes emails avant envoi

Utilise Mail-tester pour tester la qualité et la délivrabilité de ton email.

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L’outil te donne un plan d’action étape par étape pour en améliorer le contenu.

9) Contacte une audience 100% qualifiée et engagée

Meilleure astuce :

Désinscris automatiquement tout destinataire qui n’a pas interagit avec ton contenu depuis 30 à 60 jours.

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Comment définir la fréquence ?

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Pars du principe que plus ta liste est petite, plus la durée doit être courte pour maintenir un haut niveau d’engagement (gage de confiance numéro 1 aux yeux des algorithmes).

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En gros :

• 5000 inscrits → 30-40 jours 
• 5000-10000 inscrits → 40-50 jours 
• 10000 inscrits → 50 à 60 jours 

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10) Évite à tout prix les blacklists

Sans mauvais jeu de mots, les blacklists sont les bêtes noires des Email Marketers. Chacune contrecarre des dérives différentes.

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Si tu dois ajouter un lien, veille à ce que ce dernier possède un protocole SSL (c’est-à-dire qu’il est en https et non en http).

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Ne met pas d’URL shorteners, que du https. De même, évite toute URL compressée avec Bitly, Owly ou autres. 

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11) Évite les spamwords 

Un Spamword est un mot dont son utilisation au sein d’un email est un signe criant, aux yeux des algorithmes, d’un pratique frauduleuse.

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Quelques uns d'entre eux 👇

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Tu n'as plus qu'à consulter cette liste des spamwords à éviter pour tout savoir. Sinon, là aussi, Mail-tester peut t’aider.

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12) Inclus une option de désinscription

Très important : respecte à 1000% toute demande de désinscription.

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Normalement, la plupart des senders proposent cette fonctionnalité par défaut car la loi oblige à ce qu'une option de désinscription soit facilement accessible pour le lecteur.

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En revanche, nous ne te recommandons pas d’inclure un lien Unsubscribe dans tes Cold Emails.

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13) Envoi un email de confirmation aux nouveaux inscrits. 

Cet email doit être envoyé juste après l’inscription.

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Il doit :

• Rappeler la proposition de valeur de la newsletter
• Inviter l’inscrit à marquer l’adresse d’envoi comme importante,
• Générer une première interaction de qualité avec ce dernier.

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Tu peux d’ailleurs en profiter pour battre le fer tant qu’il est chaud et générer une conversion vers ton produit.

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14) Envoie les emails en ton nom et pas au nom de ton entreprise

‍Une newsletter, au même titre qu’un email de prospection, est un échange d’humain à humain.

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N’oublie pas : le Marketing et le contenu sont des jeux relationnels. Pas transactionnels.

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Avec ces quelques bonnes pratiques, tu t’assures une délivrabilité optimale à 90%.

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Sauf que nous, ce qu’on veut, c’est du 99,99%.

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Les 9,99%, tu les trouveras dans les deux points suivants :

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2- Générer une ouverture : le b.a.-ba d’un bon objet d’email

Petit exercice de réflexion : Remémore-toi les dix derniers emails que tu as ouverts : quel est le ratio entre emails envoyés par des personnes physiques (collègues, proches, partenaires) et personnes morales (entreprises via des newsletters et autres emails transactionnels).

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À quoi ressemblaient les objets des emails que tu as reçus de la part de personnes physiques ?

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Il y a très fort à parier que ce ratio soit très fortement en faveur de ces dernières, et que les objets des dits emails allient :

• concision,
• abstraction
• informalité.

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‍Nous reviendrons sur ces points juste après.

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Tu as ouvert ces emails pour deux raisons. ✌️

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Premièrement, ceux-ci t’ont été envoyés par des individus et non des entreprises.

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Entreprises vis-à-vis desquelles tu as, dans une ère où la surexposition au Marketing et à la publicité est constante, développé des filtres de protection qui t’aident à trier, voire ignorer, les sollicitations commerciales.

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Deuxièmement, les objets, courts et abstraits, ont fait naître chez toi une envie d’en savoir plus, qui t’a enjoint à ouvrir l’email afin d’en lire le contenu.

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Nous en venons à la fonction même (et surtout : la seule et unique) de l’objet : créer la curiosité pour générer une ouverture.

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Et le meilleur moyen de générer la curiosité, c’est en t’assurant de résoudre l’équation suivante : 

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Ouverture = Proposition de Valeur + Sémantique + Information Gap

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Ton objet doit faire mention d’une proposition de valeur aussi précise que possible.

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C’est-çà-dire apporter quelque chose de concret, qui résout un problème Douloureux, Urgent et Reconnu de ton lecteur.

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En gros : qui lui apporte quelque chose de positif (un outil, un concept, une histoire), ou lui enlève quelque chose de négatif (une idée reçue, une mauvaise habitude).

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La sémantique, c’est le vocabulaire que tu utilises. Le contenu de ton objet doit être le plus chargé sémantiquement parlant, c’est-à-dire utiliser les termes les plus précis et concrets possibles.

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En gros :

Tu parles d’un outil de comptabilité ? Mentionne “outil” et “comptabilité”. Tu parles d’un hack commercial ? Mentionne “process” et “ventes”. Tu parles d’une quantité ? Donne le chiffre.

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Enfin, on arrive au troisième point. 

Le plus important : le gap d’information.

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Koiké ?

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C’est tout simplement le fait d’en donner suffisamment (et suffisamment des bonnes infos) pour susciter l’intérêt, mais pas assez pour générer la curiosité. 

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Tu disposes de 2 grandes manières de créer un bon gap d’information :

1- Donner 20% des infos, suggérer les 80% restants.

Exemples :

• ‍“Voici le cours ultime sur ChatGPT (vraiment)” (61% d’ouvertures)
• “Ce secret Marketing dont personne ne parle” (54% d’ouvertures)
• “Domine ton marché grâce au…” (55% d’ouvertures) 
• “Tout casser sur LinkedIn en 2023 (méthode complète)” (56% d’ouvertures)
• “Créer une offre (vraiment) irrésistible” (54% d’ouvertures)

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2- Donner 80% des infos, suggérer les 20% restants.

On est  moins adepte de cette variante, mais voici tout de même quelques exemples :

• ‍“Le Growth te fait perdre de l’argent (voici pourquoi)” 
• ‍“[PRATIQUE] te fait perdre ton temps (la solution)” 

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Ici, on donne une info concrète. Pour en obtenir l’explication, il faut cliquer.

Tu remarques les patterns ? 

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À chaque fois :

• On sait de quoi on parle,
• On sait ce qu’on obtient post-ouverture,
• On crée la curiosité en ne donnant que le nécessaire
• On agite le problème avec des parenthèses ou des “…” 

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En gros, on répond aux 4 questions que ton lecteur se pose vis-à-vis de 100% des contenus que tu lui proposes :

1. “Qu’est-ce que c’est ?” 
2. “Qu’est-ce qu’il y a pour moi ?” (“What’s in it for me?”)
3. “Pourquoi c’est important ?” 
4. “Pourquoi en ai-je besoin maintenant ?” 

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Soit, peu ou proue, l’application en un objet d’un des frameworks les plus puissants en Marketing et en persuasion : l’ELMR.

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Pour :

• ‍Émotion → Susciter l’émotion primaire la plus forte possible. Ici, la curiosité.
• ‍Logique → Donner des éléments factuels concrets. Ici, la sémantique.
• ‍Récompense → Projeter un gain concret au passage à l’action. Ici, la proposition de valeur. ‍
• Motivation → Donner une raison concrète de passer à l’action tout de suite. Ici, l’agitation via les parenthèses ou les “…”. 

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On vient de te donner pas loin de l’intégralité de notre savoir sur le sujet des objets d’emails.

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Sauf que tout le savoir du monde, le meilleur objet au monde, ne te sera d’aucune utilité sans le plus important :

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3- Du bon contenu

On ne cesse de le répéter chez Scalezia : le Marketing, le contenu, la vente, sont relationnels, et pas transactionnels.

Ce que ça veut dire, c’est que comme toute relation, celle qui te lie à ton audience s’inscrit dans la durée.

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La confiance met infiniment plus de temps à se construire qu’à se détruire.

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En Marketing, le nerf de la guerre n’est pas l’acquisition, ni l’activation. C’est la rétention.

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Et la meilleure action que tu puisses faire pour la maximiser, c’est de t’assurer d’envoyer le meilleur contenu qu’il t’est possible de produire.

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Ce n’est qu’au prix d’une qualité en constante évolution que ton audience fera de ta newsletter une habitude dont elle ne doit surtout pas déroger.

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Pour ce faire, on te conseille de t’astreindre à un modèle mental aussi simple qu’efficace :

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Sois mal à l’aise à l’idée d’envoyer autant de valeur sans faire payer.

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Tu dois produire un contenu si bon qu’il serait commercialisable en l’état.

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N’oublie pas que les boîtes mails de tes lecteurs se remplissent un peu plus chaque jour.

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Que le nombre de newsletters augmente de façon indécente.

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Et que ta seule manière de sortir du lot, c’est de donner le maximum chaque semaine.

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Ton seul objectif : que tes lecteurs se disent, à chaque envoi, qu’ils viennent de lire la meilleure newsletter de leur vie.

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Ne retiens surtout pas tes coûts.

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C’est le meilleur moyen de les rentabiliser.

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Créer une newsletter : Conclusion

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Pour résumer :

• Pense stratégie média et pas stratégie de contenu
• Utilise un outil adapté à la situation de ton entreprise
• Aide ton audience à grandir par ta connaissance, c'est le meilleur moyen de construire une relation sur la durée.
• La délivrabilité est le fruit d’une maîtrise technique suffisante et d’objets d’emails de qualité. 
• Ton taux d’ouverture se joue autant dans l’objet que dans la qualité de tes emails. 
• Les 3 piliers d’un bon objet : Proposition de Valeur + Sémantique + Information Gap.
• L’évolution de ton taux d’ouvertures est un des principaux indicateurs de la qualité de ton contenu et de la qualité de ton audience.

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C'est le meilleur moyen de développer ton business en 2023. C'est ce qu'on a fait chez Scalezia. Et on ne le regrette pas.

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Alors notre dernier conseil sera : Mets-toi y au plus vite. Tu as maintenant toutes les cartes en mains pour y arriver. 😉